1980-1987 – New School
Whodini, Whodini
Les débuts du rap au synthétiseur Electro
1987-1993 – Golden Era Pt. 1
La philosophie bohème et insouciante d’A Tribe Called Quest
« People Instinctive’s Travels and The Path of Rhythm », l’empreinte du Daisy Age
Les espiègleries afro-centrées des Jungle Brothers
« Straight Out The Jungle », la philosophie naissante des Native Tongues
Le militantisme candide des Brand Nubian
La magie des débuts, « One For All »
No One Can Do It Better, The D.O.C.
Personne ne pouvait le faire aussi bien que The DOC à cette époque
Daily Operation, Gang Starr
La symbiose du rappeur et du producteur sur un boom bap jazzy et brut
Critical Beatdown, Ultramagnetic MCs
Des lyrics surréalistes et abstraites sur des samples disséqués chirugicalement
Strictly Business, EPMD
L’art du sampling pour un groove tueur
Naughty By Nature, Naughty By Nature
L’art du sampling pour des rythmes contagieux et street wise
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1993-1998 – Golden Era Pt. 2
La folie sauvage et instable d’Ol Dirty Bastard
« Return to the 36 Chambers », la rupture avec les techniques de chant et de rap conventionnelles
Le G-Funk maussade de MC Eiht
« We Come Strapped », le récit d’un gangster impitoyable
La violence cynique de Notorious B.I.G.
« Ready To Die », l’art du storytelling gangster de New York
La tempête brumeuse et ravageuse d’O.G.C.
« Da Storm », l’orage pluvieux oublié de Duck Down
La reconnaissance du génie musical de The Fugees
« The Score », le savant mélange entre Hip Hop, Soul et Reggae
L’entrée en scène brutale de Black Moon
La révolution crasseuse et furieuse, « Enta Da Stage »
Les égo-trips comiques de Stomy Bugsy
« Le Calibre Qu’il Te Faut », une comédie mafieuse à la française
Les lamentations poétiques d’Organized Konfusion
« The Equinox », un boom bap puissant à la fureur agressive
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1998-2006 – Bling Era
La machine à sous de Chingy
« Jackpot », le banger sudiste made in Saint Louis
La comédie anti-consumériste d’Handsome Boy Modeling School
« So… How’s Your Girl? », un concept inspiré d’une série télé
L’explosion mainstream de Cam’Ron
« Come Home With Me », la visite des rues d’Harlem
La fausse promesse introspective de Nas
« I Am », le récit autobiographique qui se perd dans sa volonté commerciale
L’élégance épurée de Slum Village
Une empreinte sonore à basse fréquence, « Fantastic Vol. 2 »
Obie Trice, real name, no gimmicks !
« Cheers », la représentation humble du rappeur de Détroit
Music & Me, Nate Dogg
La voix envoutante de Nate dédiée à son amour pour la musique
Lord Willin, Clipse
La touche avant-gardiste Neptunienne pour un « drug rap » dur
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2006-2014 – Modern Era
L’espoir du sauveur du rap game Lupe Fiasco
« Food & Liquors », un vent de fraicheur dans un Hip Hop perdu
La mélancolie noire et morbide de Kno
« Death Is Silent », le chemin vers une mort lente
808s & Heartbreak, Kanye West
Un virage R&B expérimental à la Kanye West
good kid, m.A.A.d city, Kendrick Lamar
La victoire des valeurs morales sur les tentations d’une ville corrompue
2014-2021 – New generation
CALL ME IF YOU GET LOST, Tyler The Creator
Le mélange d’une carrière en double mesure
Regulate 